La musicologie (plus précisément l’ethnomusicologie) pour moi n’est pas une profession, mais un destin et une passion. Tombée dedans depuis toute petite, je n’ai pas pu, au moment décisif de ma vie professionnelle, en faire mon métier.
Participer aux colloques était pour moi une façon de suivre l’actualité de mes collègues, j’ai essayé de faire le plus possible pendant un moment donné, en parallèle avec l’écriture de ma thèse et d’autres travaux sur la carrière de mon papa.
Voici quelques résumés de mes participations.